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Ce qu’il ne faut jamais dire à une femme à forte poitrine
Le HuffPost américain a fait un rapide sondage parmi des femmes
généreuses de poitrine pour savoir quels étaient les remarques qu’elles
ne voudraient plus jamais (vraiment jamais) réentendre.
1. « Arrête de te plaindre. Il y a des femmes qui paient pour en
avoir comme les tiens ! » Certes, mais ça n’est pas plus facile de
rentrer dans des hauts décolletés, d’empêcher nos boutons de chemise de
s’ouvrir, nous exposant par inadvertance lors d’une réunion de bureau,
ou de trouver dans la grande distribution un haut approprié à notre
taille de poitrine.
2. « Ah, ce que je suis jalouse! « . On émet en général un rire
nerveux à ces mots. Est-ce que c’est sensé être un compliment ? Ce n’est
pas parce que vous les voulez que c’est notre cas. En attendant, on est
coincée avec, donc votre jalousie ne sert à rien.
3. « Les garçons doivent adorer « . C’est vrai, mais ce n’est pas à
eux de les envelopper comme un poulet prêt à cuire chaque fois qu’ils
sortent de la maison.
4. « Est-ce que tu as déjà pensé à faire une réduction? » C’est
vraiment impoli. Suggérer de la chirurgie esthétique pour quoi que ce
soit est offensant. De la chirurgie invasive et chère n’est jamais une
option facile.
5. « Tu ressembles à Christina Hendricks/’Mad Men’/Marilyn Monroe/
n’importe quelle pin-up des années 50″. Nous savons que ça se veut un
compliment, mais cela nous catalogue dans un stéréotype qui n’est
peut-être pas notre style naturel, nous donnant l’impression d’être
coincées. La vérité est que c’est un stéréotype. Comme une de nos
collègues nous l’a confié : « Je pourrais porter des vêtements plus
cintrés comme Joan Holloway dans Mad Men. Mais son style n’est pas le
mien, et le simple fait que nous ayons le même genre de silhouette ne
veut pas dire que je dois me conformer à un certain style, n’est-ce pas ?
»
6. »As-tu mal au dos? « . Et bien, merci de vous en inquiéter mais
qu’est-ce que vous sous-entendez exactement ? Toute curiosité par
rapport à notre corps devrait s’exercer… nulle part. Qui plus est, on a
l’impression que nos plaintes éventuelles ne sont acceptables que si nos
seins nous font extrêmement mal.
En résumé: pensez à la règle d’or chaque fois que vous discutez du
corps de quelqu’un : « Traitez la poitrine de quelqu’un d’une autre
comme vous auriez voulu qu’on traite la vôtre. » Attirer l’attention sur
les seins – qu’ils soient gros ou petits – met mal à l’aise. Donc
plutôt que faire des commentaires, essayez simplement d’imaginer ce que
ça serait de marcher un kilomètre avec un soutien-gorge de taille 95E.
Ensuite, imaginez courir avec.